Nom: Amélyth la Rôdeuse
Clan: Humaine
Age: vingt-quatre ans
Caractère: Amélyth est taciturne et ne parle que si elle le doit vraiment. Elle est solitaire, n'a pas d'amis et n'en éprouve pas le besoin. Elle est éprise de liberté et ne supporte pas d'être enfermée. Gare à celui qui se risque à la contredire, car elle manie les armes aussi bien que les mots. Elle n'hésite pas à accepter une mission peu morale en échange d'un bon payement. Après tout, un sou, c'est un sou. Toutefois elle a un grand sens de l'honneur et rembourse toujours ses dette, quelles qu'elles soient, impliquant la mort ou non. Elle a une conception particulière des dettes, par exemple, si on lui sauve la vie, elle sauvera cette personne trois fois de la mort.
Description physique: Amélyth a de longs cheveux bruns et des yeux verts comme les aiguilles de sapin. Elle est plutôt grande (environ un mètre septante) et sa musculature tout en finesse roule sous sa peau bronsée par une vie passée en plein air. Elle n'est pas particulièremnt belle, mais ses pommettes hautes et son regard pénétrant attirent vite le respect de ceux qu'elle croise. Elle porte souvent une cape noire qui lui cache le visage, car dans bien des régions, on hésite à confier une mission délicate à une jeune femme. Sous cette cape, il y a une tenue en cuir simple et solide.
Equipement: Amélyth se bat avec une dague, qu'elle ne quitte jamais. Elle possède aussi un arc long, pour les voyages ou les cas extrêmes de famine. Elle maitrise parfaitement ces armes et se défends à l'épée courte et au sabre.
Son histoire: Amélyth a grandi à Tulan. Sa mère est morte quand elle avait cinq ans. Elle était couturière et tout ce qui reste d'elle à Amélyth est une robe de mariée. Qu'elle n'a aucunement l'intention d'utiliser. Elle a été élevée par son père, maître d'armes de Tulan et par sa belle-mère qui tient la seule maison close de la ville. Les coups volaient souvent, en l'absence du père d'Amélyth. Sa belle-mère engageait des mercenaires pour la battre. Le temps passa. Amélyth grandit. Son père l'entrainait en cachette au combat, mais ne savait rien de la violence de sa seconde femme. Amélyth ne voulait pas l'ennuyer avec ses problèmes, car il était très occupé par son métier, plus que prenant. Amélyth avait donc les moyens de se défendre de la violence de sa belle-mère grâce à l'entrainement de son père. Mais que peut on faire à une contre trois colosses?
Quand Amélyth fut en âge d'intéresser les garçons ou les hommes, sa belle-mère se mit en tête de "l'employer". Amélyth refusa fermement. Les coups se multiplièrent. Elle ne céda pas. Jusqu'à ce qu'un homme engagé par la mégère lui casse le bras. Elle prétendit à un accident aux yeux de son père et décida de partir. De quitter cet endroit maudit. De ne jamais y revenir. Dès que son bras le lui permit, la jeune fille partit. A dos de cheval, volé dans l'écurie familiale, avec sa dague et son arc offerts par son père et son chien, elle fuit Tulan et devint Amélyth la Rôdeuse. Elle avait alors seize ans. Depuis, elle erra de ci de là, gagnant de quoi manger, pas toujours assez pour apaiser sa faim. Elle utilisait sa science des armes pour assassiner, voler, filer différentes personnes et autre. Dans les années qui suivirent, son chien mourut et elle vendit son cheval. Elle se déplace aujourd'hui à pied et voyage ou ses pas la portent.
Mes motivations: J'ai lu les Chroniques de Krondor jusqu'au tome Ténèbres sur Sethanon et en tombant sur ce forum, j'ai craqué. J'ai adoré cette série et j'ai souvent imaginé continuer cette histoire (et non, je ne dis pas ça pour vous faire plaisir). J'ai choisi d'inventer un personnage car je préfère poser mes propres limites, pas celles imposées par un caractère défini dans le livre.
p.s.: Désolée pour le retard de ma présentation par rapport à mon inscription, j'ai mis du temps à comprndre COMMENT ouvrir un post...
Je voulais juste dire que le message de Ryana à propos de personnes qui s'inscrivent sur un forum et ne reviennent jamais n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde et que j'ai juste eu un problème technique.