voyage en triste mer

Celà faisait un mois que Yusur naviguait dans la triste mer. Il cherchait un artefact, qui d'après lui devait se trouver dans la triste mer. Quoi que ses calculs est étés assez farfelus, il soutenait sa théorie, que l'artefact n'étais vraiment pas loin de sa position actuelle. Quoi qu'il en soit, il ne l'avait toujours pas trouvé et il se demandais si il n'avait pas omit un élément important. Sa petite chaloupe valsait à travers la large étendue d'eau luisante par le soleil.
Un mois auparavant, il s'était retrouvé dans une petite échope à Port Natal et avait rencontré un marchant qui avait évoqué l'existance d'un petit artefact permettant d'augmenter la chance d'une personne au cours de sa journée. Evidemment, le petit homme s'était montré tout de suite intéressé par cette histoire et il avait donc entreprit de chercher cet objet, puisque de tout façon il était un fin joueur, qui par contre perdait relativement souvent ses paris.

** Le problème, c'est que j'ai comme l'impression de m'être perdu dans cette large lagune. Que puis-je être étourdi ! Ma foi, ma situation présente n'est pas si désespérée puisqu'il fait beau, les nuages sont dégagés : quel temps parfait et magnifique ! Par contre, il me faudrait un moyen de faire demi tour car là, j'aproche les Passes des Ténèbres.**

L'homme inconscient et quelque peu marginal, essaya de faire demi-tour tout en évitant les cotes, craignant y faire de mauvaises rencontres, tel les pirates quegans.[i]

Alors que le soleil faisait apparaitre sur le front de Yusur de petites goutelettes de sueurs, celui-ci aperçu soudain au loin une petite barque près des rivages arborés.

" Bonjour, braves pécheurs ! n'auriez-vous pas aperçu une sorte d'artefact dans le coin ?"

Les deux pécheurs le reguardèrent perplexes. Puis il réalisa que s'ils avaient trouvé l'objet, il ne lui aurai pas dis et par conséquent sa question laisserai peser le doute et les machinations sur lui. Alors il tenta de se reprendre maladroitement :

" Exusez-moi, l'artefact pour moi, désigne le plus beau, le plus gros poisson de tout les temps ! c'était une plaisenterie, certes, de très mauvais goût. "

Cette fois, les pécheurs abandonèrent leur soupçons et lui répondirent :


" Olé compagnon ! Et vous, que faites-vous dans ces eaux si peux fréquentés pour cause de pirates quegans ?"

" J'ai fais une très mauvaise affaire en achetant cette chaloupe de pacotille. Alors, je cherche à lui trouver une quelconque utilitée."

" Combien la vendez-vous ?"

** Hum...celui-là je pourrait peut être bien l'arnaquer**

Alors les deux hommes, accompagné du disciple du pécheur, se rendirent en bordure et marchandèrent alors, et de nombreuses minutes, voir quelques heures, s'écoulèrent sans qu'ils ne les voies passer.

Yusur ne savait pas vraiment comment il avait fait, mais il avait réussi à échanger sa chaloupe ridicule, sa camelote, contre la petite, certe, mais agréable barque et tout de même plus large que la sienne. De plus, il avait réussi à obtenir un petit coffret en bronze qui rapporterais un prix non négligeable.
Ainsi, il repartit en plein triste mer, toujours à la recherche de cet artefact qu'il convoitait.
Alors, pour défier le silence, il se lança dans une vieille comptine qu'il avait inventé étant petit, lorsqu'il voler certains mages en pleine conversation :

" Olé, navigateur ! Au plaisir de t’arnaquer !
Olé, gondolier ! Au plaisir de te chaparder !
Olé, batelier ! Au plaisir de te marauder !
Olé, pécheur ! Au plaisir de t’escroquer ! "

Tout en chantonnant, il ne remarquait pas l'étrange navire qui le suivait...

Yusur évita de justesse le coup portait par son assaillant. Cela faisait trois inlassables heures qu'il combattait ces pirates quegans venus l'attaquer.
Ils avaient réussi à couler sa barque. Craignant la noyade, il avait réussi à aborder la passerelle ennemie. Depuis, cinq corsaires l'entouraient. L'un deux, apparemment plus jeune que les quatre autres, s'approcha les yeux crépitant d'une certaine malice, de Yusur. Il souriait d'un air perfide et fourbe. Son regard trahissait sa nature vénale.

** Tiens, j'ai une idée... **

Mais brusquement, un sabre doré et éclatant s'abattit en direction du petit mage éberlué et le sortit alors de sa fraîche réflexion.
Instantanément, l'homme à l'auguste moustache, Yusur, avait disparut. Les flibustiers abasourdis s'examinèrent un soupçon d'incrédulité figée quelques instants sur leurs mines ridés. Et si, l'homme contre lequel ils s'étaient battus était bien plus puissant qu'il n'en avait l'air ?... perplexes, la peur s'inscrit subitement dans leur visage.

** Je constate que mon petit sortilège m'a bien sorti de ma déroute. On dirait bien que j'ai failli rencontrer Lims- Kragma ! Le principal est là : je suis en vie.**

Yusur était accolé contre la paroi de l'embarcation. Il était encore sur le navire et avait utilisé une fois de plus l'un de ses faibles sorts qu'il utilisait sans cesse. Quoi qu'il en soit, peut être s'apercevront-ils de la supercherie.

** J'ai la ferme intention de leurs préparer une petite surprise...** gloussa le vagabond.

Yusur avait son plan en tête et il ne l'abandonnerait pas...

Yusur rugi. Un hurlement qui fit tressaillir les pirates.

" Bonjour ! Je ne sais pas si vous avez entendu un jour parlé de Macros, le puissant sorcier qui s'associa à Sharig, le dieu de la connaissance, mais le voici devant vous ! Je suis revenu à la vie ! "

Le petit homme parlait avec un assurance telle, que les quegans commencèrent à frémir. Bien entendue, lui, n'avait rien avoir avec Macros et d'ailleurs était un magicien de très bas niveau.

" Eh bien, pour ne pas s'éterniser dans des palabres inutiles, j'en viens au fait !" les forbans restèrent toujours de marbre.
" Je vous propose une chose simple : Vous me déposez à Queg en me fournissant un papier où vous attesterez être mon garant, comme cela je pourrais circuler librement, et en échange, je vous accorde ma grâce et vous fournis une semaine de travail. Marché conclut ?"

Les quegans s'observèrent, puis l'un d'eux se décida à prendre la parole, et accepta le marché avec Yusur.

Le reste de la traversé se fit sans trop de difficultés.