Une rencontre innatendue.

Hyrgan courra jusqu'un cavalier, passa sous le cheval, et d'un coup d'épée, lui trancha les pattes arrières. Le cheval se reversa en hénissant. Hyrgan donna un coup de coude au cavalier et lança son épée e narrière sans prendre le temps de regarder où il l'avait mise. Il eut l'effet du fer transpersant de la chair molle, puis subitement quelque chose de dure. Hyrgan se retourna rapidement et vit que son épée était entré dans la gorge de l'homme pour rejoindre le cerveau. Il tira viollement son épée et chargea sur un groupe d'homme. C'est a ce moment là qu'un homme devant lui tribucha sous la lame d'Eloise pour ètre ensuite piétiné par son cheval.

"Eh bah! Ils savent pas se battre ! On va vite les terminer !"

Plusieurs minutes passèrent et les hommes encore debut precèdement était maintenant à terre, mort ou agonisant. Les chiens s'étaient enfui et les chevaux étaient mort.

"Je vous expliquerais quand nous seront en sécurité. Les chiens sont repartis pour prévenir leurs maitres que ses serviteurs ont échoué. Maintenant, c'est les gardes d'élites qui se ramène. Il faut partir..."

Hyrgan regarda autour de lui... Tous les chevaux étaient mort et donc inutilisable. Il regarda Eloïse...

"Ca te gène si ... ?"

Finalement, la bataille fut moins pénible et moins longue qu'Eloïse n'aurait pu l'imaginer. Leurs adversaires n'étaient pas très doués et ils attaquaient tous séparément au lieu de les affronter en un front unis..
*Tant mieux pour nous, après tout. Je vais pas m'en plaindre.*

Lorsque les chiens s'enfuirent, Eloïse se douta que quelque chose n'allait pas. Les paroles du mercenaire confirmèrent ses soupçons.
*Adieu une nuit de repos dans une auberge accueillante, et bienvenue à une vie de fugitif !*
Elle aurait volontiers envoyé Hyrgan rejoindre les hommes qu'ils avaient massacrés.

Lorsqu'il lui demanda s'il pouvait monter derrière elle, sur son cheval, elle resta un instant interdite devant tant de culot.
"Vous n'auriez pas pu laisser un cheval en vie, non? Cela nous aurait évité de fatiguer inutilement ma monture. De plus... ces pauvres animaux n'avaient rien demandés."
elle n'ajouta pas qu'il les avait mis tous en danger en partant comme cela, sans demander son reste. Une chance que les deux compagnons avaient été rapides à le rejoindre !

Néanmoins, Hyrgan avait mentionné une nouvelle vague d'adversaires, sous peu. Inutile donc de discuter pour le moment, il fallait mieux filer effectivement.

"Grilmpe, lui ordonna-t-elle, tout en lui tendant sa main. Mais n'en profite pas pour balader tes mains partout. Nous reparlerons de ta pitoyable tentative de nous faire tous tuer plus tard."
Elle jeta un coup d'oeil à Trinir et lui fit signe de passer devant. Après tout, il connaissait mieux le chemin qu'elle et... elle n'était pas encore prête à faire confiance au mercenaire.