Honte et Désonheur

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« -Par Isanda ! Vous n’allez tous de même pas prendre cet huluberlu ! Je suis bien meilleure et j’ai 12ans d’apprentissage au coté du maître chanteur Ornstar ! »

Cette longue phrase fut hurlée dans l’auberge, après prêt d’une heure de tentative pour se faire engagée par l’auberge du chien chien fou ; Petite auberge en perdition, qui chercher a ramener du monde par tous les moyens possibles, venait de choisir au lieu d’elle, un pauvre imbécile, un fou atteint d’une grave maladie psychologique certainement.. Un clown, rien de plus et certainement pas une barde. Comment, avait t’il pus choisir cet imbécile a sa place ? C’était vraiment ahurissant et Lotë semblait vraiment des plus énervée, un grognement de terreur qui interloqua et stoppa dans leurs activités toutes les rares personnes présente dans l’auberge, mais aucun n’osa regarder, se grognement bien trop puissant et infâme, vraisemblablement sortit du plus profond des strippes de la jeunes Ménestrel (pour moi barde et ménestrel c’est la même chose). D’un geste vif et brusque elle saisi sa harpe dorée qu’elle tenait solidement attachée par une corde elfique dans son dos, et l’envoya violement dans al figure de l’aubergiste qui n’eu pas le temps de se demander ce qui se passer, que déjà, des dizaines d’oiseaux collaient en cercle au dessus de son crâne. Sur les fesses le barde était au sol, une légère entaille sur son crâne chauve, dégoulinant de la un peu de sang.. Sa y est, tous le monde oser regarder vers eux.. Lotë tenait tremblante son ‘arme’, balaya du regard tous ses gens qui la regarder et ne pus soudainement plus bougée.. Pourtant, avec son père, elle avait combattue des barbare, assassiné des riches bourgeois et jeunes enfants, abattus de pauvres femmes innocentes mais la.. Les raisons et les circonstances paralysèrent soudaine Lotë. Ses yeux s’emplirent peux à peux de larmes, l’Aubergiste semblât refuser a se relever bien qu’il était toujours en vie et même éveiller.. Rapidement ses premières larmes coulèrent et lentement, coulant sur son visage, partirent pour le saut de la port : A l’embouchure de ses joues avec le vide.. C’est après quelques secondes que ses premières larmes partirent s’écraser au sol, dans une mort presque splendide au yeux d’un insecte qui passa alors par la. Cependant pour Lotë, cela n’avait aucune importance, elle pleurer, qu’elle honte pour elle, mas aussi qu’elle douleur, de paraître stupide devant une tel assemblée de gens sans ne plus pouvoir bouger.

Le petit garçon était au bord des larmes. On lui avait demandé d'aller chercher un ménestrel à l'auberge des Trois Sourires, et il avait été incapable de se rappeler le nom du ménestrel et surtout... il ne savait plus où se trouvait l'auberge.

Reniflant bruyamment, il entra dans l'auberge que tenait des parents à son ami, Rob, le Chien Fou. Qu'allait-il bien pouvoir dire? Il se sentait si bête ! On lui avait confié une mission importante, et il venait d'échouer lamentablement. Quel benêt il faisait !

Il poussa la porte, perdu dans ses pensées... et se retrouva nez à nez avec un spectacle qui l'aurait fait rire dans d'autres circonstances. Une jeune femme aux oreilles bizarre hurlait après le père de son ami, et lui lança son étrange instrument de musique sur la tête, l'envoyant au tapis.

"Oh mince, Gérald !" ne pût s'empêcher de murmurer le petit garçon.

Ses soucis envolés, il sentit une incontrôlable colère monter en lui. Cette fille venait de tuer le papa de son meilleur ami. Elle n'avait pas le droit !
Comment avait-elle osé?

Il se précipita vers elle, pour la taper de toute la force de ses petits poings, lui crier qu'elle venait de faire une grande peine à son ami, qui avait soudain perdu son papa... quand il s'arrêta net. L'aubergiste était vivant, il regardait autour de lui sans rien comprendre mais surtout... la fille était en train de pleurer !

Son papa à lui lui avait un jour dit que la pire chose sur terre était de faire pleurer une fille. Le petit garçon eut alors de la peine pour elle. Elle n'avait certainement pas fait exprès de taper le papa de Rob et surtout... il devait l'avoir énervé. Donc, le papa de Rob venait de faire pleurer la jeune-dame-aux-oreilles-bizarres.

Le coeur du petit garçon se pinça. *Pauvre jeune fille qui pleure...*

Il s'approcha d'elle tout doucement, remarquant au passage les droits d'yeux que les clients faisaient à la jolie-dame-aux-oreilles-bizarres. Le petit garçon se retrouva à la hauteur de la fille et lui prit doucement la main, tout en lui disant gentiment :
"Jolie-dame-aux-oreilles-bizarres, il ne faut pas pleurer ! Mon copain Rob ne vous en voudra pas d'avoir taper son papa, en plus qu'il vous a fait pleurer !"

Il savait qu'il avait l'air ridicule, un petit garçon de douze ans en train de parler à une inconnue qui venait d'assommer le propriétaire d'une auberge respectables... mais il ne savait pas pourquoi, il avait envie de la réconforter.

"Pleurez pas, jolie-dame-aux-oreilles-bizarres. Je vous assure que Rob y dira rien. Son papa est pas mort, faut pas pleurer. Par contre, jolie dame, tout le monde y vous regarde bizarrement. Venez, faut mieux pas rester. Les personnes ici, y doivent pas savoir que y'a rien de pire que faire pleurer une fille. Venez, suivez moi !"

De toute sa petite force, le petit garçon essaya d'entraîner la jolie-dame-aux-oreilles-bizarres vers la porte qui menait dehors.

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Sya restât donc quelques instant ainsi les larmes coulant, dégoulinant lentement ; Les gens regardant d’un air louche et le propriétaire des lieux toujours trop a l’ouest pour se remettre debout ; Une belle et magnifique marque sur le front de ce dernier témoigner de la puissance du coup ; Heureusement, aucune véritable casse outre quelques gouttes de sangs. Toujours plongée dans cet état mélangent la honte, la peine et l’horrification ; Sya en fut soudain sortie par un bruit de course pas particulièrement rapide mais une course.. Sya cligna alors des yeux, reprenant plus conscience de l’environnement, le clignement fut pour essayer de sécher assez ses yeux pour mieux voir alentour.. Ses pupilles firent alors un trajet allé retour le long de ses yeux pour balayer la pièce et ainsi identifier la personne ; Cependant, il semblât qu’elle c’était trompée.

C’est lorsqu’elle entendit une vois pour le moins enfantine qu’elle tourna son regard et le baissa plutôt interloquée de voir un enfant apparemment humain qui s’adresser a elle. Elle semblât vraiment, stupéfaite par le nom qu’il lui avait donné bien que certain aurait pus penser qu’elle n’était stupéfaite que par le fait que se soit un enfant qui s’adresse a elle. Ainsi Sya écouta ou en tous les cas essaya du mieux qu’elle pus ce demandant qui pouvait être se dénommé Rob mais toujours sous le choc de sa réaction aussi bien a la colère que celle après avoir frapper..

Encore choquée et nouvellement troublée, l’enfant l’attrapa par les vêtements (je suppose) et l’entraîna ou du moins essaya, mais Sya ne fut pas longue a comprendre le geste et suivit presque aussitôt l’enfant vers l’extérieur tout en répondant enfin en même temps qu’elle rangeas son instrument a un carré de ceinture cousu dans le dos de ses vêtements :

Sya : « -Ô jeune sauveur ; Quel bonheur.. Que de recevoir votre aide. Pourrai-je juste demander, ou vous comptez m’emmener ainsi ? »

Ses paroles sortie avec un léger sourire contradictoire avec l'intonation de sa vois, bien que le sourire fut des plus sinscère. Ses yeux était pour autant rouge et plus que mouiller, ils étaient littéralement submerger. Mais elle le suivit sans contester autrement que par sa queston, se laissant donc ''trainée'' en dehors des lieux sans savoir si l'enfant aller s'arrêter juste a l'exterieur ou pas. Esperent juste qu'aucun de ses cougat de l'intérieur ne les suive ou n'avertisse qui que se soit d'habiliter à venir l'arrêtée pensant qu'elle ne pourais fuir ou se défendre au vus de sa réaction pour se simplke coup, comment pourait t'elle re combatre un jour ? Le ferait t'elle ? Après tout;, son nouveau métier était loin des champ de bataille, peut etre avait t'elle perdue l'habitude ? Ou avait t'elle peur de cela maintenant ? Enfin, tant de questions au quels elle ne pouvait répondre dans l'immédiat.

Tout en pensant et marchant, elle regarder l'enfant qui était de dos, se demendant qui il était, pourquoi venait il l'aider ? Qui était se Rob ? Son amis ? Certainement.. Enfin, la aussi, beaucoup de questions qui empêcher encore plus de penser et trouver des réponces aux autres; Cet état dans le quel elel c'était plongée était très étrange pour ele et tout a fait nouveau.. Peut-etre le metier qui rentre ? Ou un ramolissement ? La encore, trop de questions aux quels, encore une fois, elle ne répondrait pas ou pas tout de suite. Elle avait plus urgentt: Un interlocuteur Un interlocuteur sur le quel elle devait éssayer de porter son attention et réussir a trouver ses mots sans se torturer encore plus: C'était un enfant, la vérité sortant de leur bouche, la discutionn'en serait que bééfique si elle arriver a tenir la discution.

Le petit garçon fut ravi de voir que la jolie-dame-aux-oreilles-bizarres le suive sans protester ni se débattre, mais en lui posant juste une simple question. Il se contenta de sourire, tout comme la jolie dame, et s'empressa de la faire sortir. Maintenant, il en était sur : il y avait pire que faire pleurer une fille. Et il ne voulait pas que l'on fasse du mal à la jolie-dame-aux-oreilles-bizarres.

Une fois la porte passée, il ne s'arrête pas tout de suite, désireux d'enmener l'étrangère le plus loin possible de l'auberge, inconscient des pensées de la jolie dame.

Une fois éloigné un peu de la bâtisse il s'arrêta et fit face à la dame. Elle était vraiment jolie, et ne ressemblait à aucune fille de son quartier. Se rappelant une vieille contine de sa grand-maman, il lui demanda, innocemment :
"Si vous avez des drôles d'oreilles, c'est parce que vous vivez dans la forêt, comme les créatures de l'histoire de ma mémé? J'me souvient plus d'leur nom, mais je sais que ce sont des créatures très gentillles."

Il lui fit un grand sourire et continua, sur un ton de conspirateur :
"Vous croyez qu'on me donnera une... raço... rançon pour vous avoir enlevé?"

Il éclata de rire.
"Je vous ai sauvé des méchants, jolie dame. Vous voulez bien jouer un p'tit truc pour moi? Tu vois, on m'a demandé d'aller chercher un barde pour le banquet de ce soir, au palais. Le roi y vient de se marier, et la reine elle est très belle ! Alors, on m'a demandé d'aller chercher un... ménestrel très doué mais je me suis perdu et je ne retrouve plus où il habite. Mais si toi tu sais chanter, tu pourrais peut-être le remplacer? Comme ça je me ferais pas grondé par mon papa. Mon papa il travaille au palais. Il a de la chance, il paraît. Il est cuisinier et c'est lui qui s'occupe du banquet de ce soir. Il est très occupé, c'est pour ça que c'est moi qui devait aller chercher le ménestrel"

Le petit garçon était au bord des larmes de nouveau. Que ferait-il si la jolie dame ne voulait pas venir avec lui?

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Sya se laissa donc entrainée, n'ayant pour seule réponce déja bien suffisante; Un sourir.. Soit il n'irais pas loin, soit il conter l'emmener quelque part, soit.. Soit autre chose, mais toujours aussi perturbée Sya n'y refflechit guère. Continuant de marcer jusqu'a ce que l'enfant ne s'arrête; Sya ne se fit dnc pas priée sinon elle lui aurait foncer dessus. De ses suite, l'enfant se retourna; Levant sans conteste la tête pour la regarder; Sya eu comme une soudaine crainte, levé la tête sa donne le tournis ! Ce pourquoi presque aussitot elle s'abaissa en quelque sorte accroupie pour se retrouver une même hauteur que ll'enfant; Ce sans rester debout ce qui était donc moins fatigant bienq u'elle ne resentirt a aucun moment une quelquonque fatigue sauf nerveuse..

Soudain, le léger sourir devin sourir, il s'accentua donc un pex, l'enfant avait déja reprit la discution et demander s'il y aurait une ransson, Sya n'eu a répondre puisqu'il reprit aussitot. Soudain, le regard de Sya changea,s elle ne bougais pas, mais son regard, s'assombri, son sourir disparus jusqu'a la fin des paroles de l'enfa,nt et ce ne fut que lorcqu'il eu fini de parler, que Sya.. Ah non, toujours, elle attendit queques secondes ne voulant pas répondre n'importe quoi: Elle avait trouver ou se faire connaitre mais, donner une représentation pour un couple, royal.. Ne valait il mieux pas rester dans l'ombre que de se faire couper la tête ? Car oui, elle savait tout faire mais, ses chansons, car il semblait qu'ils cherchaient un menestrel pour la chanson.. Elle n'avait un registre que fantastique et plutot; Traditionel..

Lorcqu'enfin, après quelques secondes de refflecions intense en un tel point qu'elle oublias sous ses autres soucis, le sourir réapparus, elle emmena une main sur la tête de l'enfan et d'une pulsion des jambes se remit droite. Puis en retirant sa main droit de la tête d el'enfant, elle l'emmena sur son coeur (a elle) et tendit son bras gauche sur le coté, légèrement vers l'arrière avant de laisser réapparaitre un sourir un courba légèrement l'une de ses jambes et posa le pied de cette jambe sur sa pointe; Très légèrement en retrait.. Avant de courber le haut de son corp tout en parlant:

"-Je m'appel; Sya, Menestrel; Elfe, élève du maître chanteur Ornstar.."

Une fois de retour en bonne posture, seul sa jambe ayant gardée la position de la courbette traditionelle.. Elle emmena sa main décrocher sa harpe (model réduit et magique pour pouvoir intoner tous sons d'instrument traditionel..), rèffléchissnat toujours a que chanter; Car elle n'allait pas chantée l'une de ses chanssons payarde elfique à un enfant ! Il fallait qu'elle trouve un poème, qu'elle intaunerai sur un air plus doux et vite; En a peine quelques secondes elle trouva quelque chose: Se serait certe assez vieux jeux mais bon, en quelques secondes c'était difficile de trouver mieux en rime.. Puisque les rimes sont tant apprésciée du publique.

Ainsi tenant sa "harpe" dans sa main gauche, le coin plat tourner vers elle, elle emmena ses doigts sur celui-ci, ceci assez rapidement et certainement que se fut plus rapide que le temps de lire. Elle sembla un instanct ravaler sa salive jusqu'a entamer un léger air de musique l'epsace de deux ou trois secondes, un petit air de musique assez doux mais avec un air peut-etre un peux; Comment dire.. Irlandais ? Mais l'intaunation était très légère. Après avoir ravaler sa salive (prèssison aussi que lorcque l'utilisateur de la harpe magique chante en même temps qu'il joue sa vois et très variable, il vaut donc mieux avoir une bonne habitud epour pouvoir bien controler cet effet.).

C'est ainsi que la chansson s'entamma, douce et calme,pas d'air faut juste cet air très faible irlandais, qui tendit au bout des 2 ou 3 secondes vers quelque chose de légèrement mélancolique. Et la elle commenca donc a chanter, musique qu'elle esperimenta donc puisqu'a l'origine ce n'était qu'un poème:

"-Je ne sais pas d'où vient cette grande tristesse
-D'entendre dans mon souvenir l'écho d'un malaise

-Tout en haut du rocher la plus belle des princesses
-Est merveilleusement assise sur le bord d'une falaise."

hrp: Oui c'est court c'est un essai pour montrer comment je chante !

Aussitot elle s'arreta et souffla, avant de regarder l'enfant qui était par ailleur le jurit qui la séléctionnerai ou pas pour un poossible emplois.

"-C'est un peu.. Pale, mais je peux variée. ALors sa te vas ? ^^"

Le petit garçon était resté immobile, suant de peur, pendant le petit "manège" de la dame. Qu'est-ce qu'elle allait faire? Allait-elle lui faire du mal, le gronder, ou tout simplement s'en aller en rigolant? Le petit garçon ne pouvait s'empêcher de trembler.

Et puis, la voix de la jeune dame s'éleva dans l'air.
*Quelle jolie voix ! Elle chante super bien !* se dit le garçon, totalement subjugé. Souriant bêtement, il applaudit bien fort quand la jeune dame termina.

"C'est très jolie ce que vous chantez, dame Sya ! Vous chantez drôlement bien en plus ! Je suis certaine que mon papa il sera content que je vous ai trouvé. Y'a pas beaucoup de dame qui chante, vous savez. Enfin, si y'en a, mais elles chantent pas bien. Alors que vous, vous chantez très bien... et vous z'êtes jolie ! Je suis sûr que mon papa y sera content de vous voir. Je suis sur qu'il voudra bien que vous chantiez ce soir !"

Souriant toujours, le garçon regarda autour de lui, comme pour vérifier que personne ne les espionnait.

"Alors, jolie Sya, vous voulez bien venir? Je suis sur que papa il vous gardera pour ce soir. Et autrement... Dis, vous ne retournerez pas taper le papa de Rob hein?"

Le sourire du petit garçon vacilla, et il posa sur la jolie dame un regard chargé de questions.

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Sya sourit, d’apparence assez ironique.. Emmenant sa main dans une poche invisible a l’œil nus de par le camouflage opérer sur ses vêtements ; elle léger cliquetis métallique raisonna faiblement, faisant un pas vers l’enfant elle s’accroupis de nouveau en face de ce dernier. Sortit enfin sa main da sa poche et la tendit pomme vers le ciel, la pointe des doigts vers l’enfant. Quelques écus dedans, environs 25.. Le laissant prendre l’argent elle répliqua, ou répondit alors, a toutes ses questions, assez ironiquement (ou plutôt amusée) mais sans aucune pointe de méchanceté ou sournoiserie.

« -Non.. Jeune sauveur, je n’irais pas taper le ‘papa de Rob’, et Oui je veux bien venir. »

Sur ses mots ses yeux volèrent, enfin, montèrent grandement vers le haut de la rétine, voir un groupe d’oiseau passer au dessus de leurs têtes, toujours craintive qu’ils ne fassent un lâcher en règle, un bombardement sadique et sournois équivalent pour eux à un passage aux W.C. Par chance le groupe passa et Sya laissa rouler ses yeux pour qu’ils retournent voir l’enfant juste en face d’elle attendant le retour du voyage.

Le petite garçon resta abasourdi quand la jolie dame sortie de l'argent et lui fit signe, imperceptiblement de le prendre.

"Jolie dame, pourquoi vous me donnez de l'argent?"

Il resta pétrifié sur place par la surprise et l'incompréhension. Ses muscles se tétanisèrent, il ne pouvait plus bouger.

Debout, raide, son petit poing serré sur les quelques piécettes, il regardait devant lui sans rien voir, la machoîre crispé. Il redoutait le pire...

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Sya refermat alors la main, d'un air de ne rien comprendre: N'importe quel enfant se serait empresser de prendre l'argent pour s'acheter des bonbon, ou d'autre babiole dont ils avait envis, ou encore pour aider leur parent ou acheter un cadeaux bien que ses cas fuce plus rare.

"-Bien, si tu ne veux plus de ransson pour mon enlèvement "

Le roullementd es yeux quel effectua a se moment et l'expression de sonvisage et mouvement de ses levres fut assez semblable au smiley montrer ci-dessus. Elle rouvrit en suite la main mais plus rien ne s'y trouvait..

"-Et biens, il semble que tu ne soit pas enfant ordinaire, déssaire ton poing, cela ne sert a rien.. Et tu le sait, bien, nous y allons ? Le vent se lève et tu est si peux couvert, tu va attraper une pneumonie a rester ainsi.."

Le petite garçon se détendit et sourit, contrit :

"Jolie dame, je ne veux pas de votre argent. Je sauve des damoiselles trop rarement pour que l'on me récompense, vous savez. D'habitude, je suis plutôt du genre à embêter les filles..."

Inspirant profondément, pour se redonner un peu de courage après cet épisode, il tendit la main, comme pour prendre celle de l'elfe.

"Venez, je vais vous amener au palais, c'est sûr. Il ne faudrait pas arriver en retard. J'espère que vous avez avec vous de jolies tenues. Mon papa il dit qu'il faut toujours bien s'habiller devant l'Roi et sa nouvelle Reine. Faut leur faire honneur qu'il dit. Et moi je suis bien d'accord !"

Et, sans attendre de réponse, il fit mine de partir.