Prêcher Sa parole (libre)

Après bien des tumultes, Draz avait réussi à débarqué à Krondor. Il se souvenait encore de la tempête, des pirates... Plus jamais il ne voulait retourner sur un bateau! Si il devait retourner à Kesh, ce serait par le Jal-Pur, quitte à y laisser sa peau. Au moins, le désert était quelque chose qu'il comprenait et que les vagues y étaient plus rares. L'ancien chien soldat dominait la plupart des personnes autour de lui d'une bonne tête et en profita pour voir ce qui se passait autopur de lui.
Il prit la direction du marché, espérant y trouver à manger. Malheureusement, il n'avait plus un sous vaillant en poche. Le seu argent qu'il avait, il avait dû le donner à Bo', pour prix de la traversé. D'ailleur, il se demandait d'où lui venait cet argent. Êrte légionnaire ne lui permettait d'économiser.
Un petit groupe d'homme, un brassard autour du bras passèrent devant l'air soupçonneux. Certainnement des policiers. Mais ils s'abstinrent de tout commentèrent. Bien que son physique trahissait son appartenance à la race Keshian, il ne troublait pas l'ordre et Kesh n'était plus en guerre contre l'empire.
D'ailleur, à propos de troubles... il vit une foule à une trentainne de pas devant lui s'aglutinner autour de quelque chose. Un bagarre? Un spectacle? Ignorant la faim qui le tenaillait, il se dirigea vers le groupe.
Il ne pouvait pas s'en empêcher. La même présence qui l'avait fait monter à bord de la chienne des mers le poussait vers ce groupe. Lui ne s'en rendait pas et mettait son empressement sur le compte de la curiositée. Il fendit la foule, qui s'écarta largement devant le passage du vieux guerrier. Il vit un prètre. Il venait d'un ordre qui lui était inconnu, mais de tout façon, il connaissait mal les croyances des gens du royaume.
Ce dernier était assaillit par la foule, et sembalit guerrir tout les maux. Draz haussa un sourcil, impressionné? Quelle était cette magie? Il n'aimait pas la magie, surtout depuis qu'un homme en robe noir s'en servit pour empecher Kesh de prendre cette citée.
Mais alors qu'il eu cette pensée, il fut surpris d'entendre:

"Tu es un charlatan, faux prètre."

Et fut encore plus surpris que ces mots sortent de sa bouche...
Autour d'eux, la foule rit nerveusement; la voix du keshian était étrange, caverneuse. Pour une voix humaine, bien inquiétante. Draz lui même ne reconnu plus sa voix. D'ailleurs, il aurait incapable de faire un geste: il ne controlait plus son corps, et l'ignorait. Le mental du keshian lui faisant défiler des images de folies devant les yeux, comme dans un cauchemards. De ce fait, il dormai.
Quelque chose d'autre agissait à sa place.
Un jeune homme dit:

Mensonges. Il nous guerris.Un grand dieux nous aide. Un nouvel ordre s'installe à krondor, espèce de chien de keshian

Draz l'aurait attaquer sur le champs. Pas ce qui avait pris le controle de son corps. Il regarda l'insolebnt et murmura d'une voix douceureuse:

"Qu'il guerrisse ceci. Nous verrons si c'est un vrai prètre, digne de ce nom."

Il releva la manche de son bras droit, dévoilant une longue brûlure que le keshian s'était faite, voici 5 ans. Depuis, elle rendait à son bras un aspect bien laid. Il tourbna son regard vers le prètre, attendant se réaction.

Draz jeta un regard circulaire autour de lui. Les gens sembalient prèt à le lapider sur place, poussés par la colère. Mais ceux sur qui il posait son regard semblaient de calmer. Peut être à cause de ce petit quelque chose qui avait changé dans le regard du keshian.
Ses yeux sembalient maintenant bien vieux, mais avec une lueur mauvaise qui les faisaient luirs. Les gens autour ne voulaient pas soutenir son regard. Il fixa ensuite le prètre, un sourire sdique aux lèvres. Il montra les gens ammassés autour d'eux.

"He bien, ils ne semblent pas très motivés. Pensais tu vraiment que des faibles comme ces pitoables êtres avaient un tant sois peu de détermination?"

Il attrapa les prètre du valheru sous la machoir et le souleva au dessus du sol. Le keshian était fort. Il avait jadis remporté des tournois de lutte dans sa jeunesse avant qu'il soit soldat. mais là, c'était différent? sa force était monstrueuse, inhumaine. Il sembalit soulever une plume.
Il commença à s'éloigné du regroupement, tenant toujours le prètre. Un jeune homme, celui qui avait parlé avant, voulu s'interposé. Il posa un main sur l'épaule du possédé. Sans lmui accordé un regard, de sa main libre, Draz lui broya les os du poignet.
Aussitot, tous s'éloignèrent largement. En passant, Draz rammassa la petite statuette, l'emportant avec lui. Il s'avança, d'un pas rapide, vers le quartier des temples....