Le Conseil du Clan

Après deux bonnes heures de marche, le nain, l'homme et l'elfe arrivèrent près de l'entrée d'une grotte. Le nain s'arrêta, et fit signe aux deux autres d'en faire autant. Il désigna l'entrée :

"Ceci est un tunnel construit sous les montagnes que vous voyez là. En fait, ce massif là est en arc de cercle, et nous avons construit notre bastion au centre de ce cirque. Néanmoins, il va nous falloir passer sous la montagne pour déboucher de l'autre côté. J'espère que nous n'avez pas peur."

Sans attendre une réponse, il reprit sa marche d'un pas plus assuré, prit une torche allumée qui reposait sur un support et commença à s'engager dans le tunnel. Il énonça tout haut :
"Ce tunnel est un vrai labyrinthe, alors je vous conseille de ne pas essayer de vous y perdre. C'est le seul point d'accès à notre bastion, et bon nombre de galeries sont piégées. Je vous aurez prévenu."

Il se retourna et, voyans que les deux autres ne le suivaient pas, il cria à tue-tête :
"Alors, vous v'nez?"

Jack aluma une lumiere magique dans sa main.
"Oui, on arrive."
Il s'élanca alors a la 'poursuite' du nain qui marchait a vive alure comme si il voulait les perdre.

Ils marchèrent en file indienne pendant une bonne vingtaine de minutes.Les lumières du nain et du mage permettaient de chasser dans un petit rayon les tenèbres oppressantes. A part le frottement des chaussures des trois hommes sur la pierre, aucun bruit ne se faisait entendre.

Au bout de dix minutes environ, le nain lança, sa voix résonnant sur les parois :
"Pas trop fatigué? On est plus très loin maintenant... En tout cas, comme vous le voyez, le chemin est très... compliqué à retenir. De plus, il change très souvent. Faut vraiment pas s'y perdre."

En effet, une dizaine de minutes plus tard, ils débouchèrent à l'air libre. Le paysage qui s'étalait sous leurs yeux était magnifique.

Ils surplombaient une vallée, au centre delaquelle était construit un étrange et gigantesque édifice fait de pierre et de bois. Les flancs de la vallée étaient recouverts de bois, traversés par des sentiers de terre. Tout était harmonieusement disposé, comme tout droit sorti d'une tapisserie ou d'une peinture.

Il régnait dans cet endroit une atmosphère bucolique assez inhabituelle pour une communauté de nains.

"Alors, que pensez vous de notre maison?"
Le nain avait l'air très fier.

Jack ne pouvait pas retirer ses yeux de ce spectacle.
C'était merveilleux.
C'était comme l'image qu'il se fesait de la ville éternelle.
C'était Pug qui lui avait longuement raconter la beauté de cette merveille qu'est la ville éternelle.
"Votre maison, maitre nain, dit il au bou d'un moment de contemplacion, est plus que magnifique."

Vandemar se réveilla un peu. En effet il était resté silencieux pendant l'incident de la hache et pendant tout le voyage. En arrivant dans la vallée il ne fut pas très surpris, il conaissait déjà a maison des nains, bien que au fur et è mesure des ans l'endroit devenait de plus en plus beau. Il fut surtout surpris de voir tout ces nains, partout, il y en avait plus d'une centaine occupé dans leurs besognes.

Il regarda le nain esquisser un sourire peu habituel sur "ce" nain, qui au début avait était assez désagréable. Il sourit è la vue de l'étonnement de Jack fasse à la vallée. Il se tenait immobile, sans même quitter les yeux de l'endroit.

"Je vois cher nain que tu es assez fière de ta cité, qui est très belle à mes yeux, mais sache que je l'ai déjà vu, et votre Roi je le connais un peu, mais pas assez pour le juger."

Il bailla, et retira sa main des sa poche, d'ou il sortit une bague faite en argent brute, et se la mit à l'index droit en honneur à un ami nain qu'il avait connue longtemps au paravent.

"Allons-y Jack dit-il en suivent le nain."

Le nain les invita et leur dit quelque-chose...

Le nain les invita à descendre le sentier qui s'étalait à leurs pieds.

"Je doute, elfe, que te connaissesnotre Roi. Il existe tellement de Clans différents, que tu te trompes certainement. Mais qu'importe, je sais que vous, les elfes, vous adorez passer votre temps à vous vanter et à vous croire plus malin que les autres."

Il faisait doux dans la vallée. Ils mirent une bonne heure avant d'arriver au fond de la vallée et au pied du bâtiment qui ressemblait fort à une forteresse, tant il était imposant. Mais la "promenade" fut des plus agréables.

Devant le portail gigantesque, le nain fit signe aux deux hommes de s'arrêter et de l'attendre.
Il alla s'entretenir avec le nain en faction et revint une poignée de secondes plus tard.

"Suivez moi, je vais vous présenter à notre chef. Lui seul vera si vous êtes digne de fouler nos terres."

Il leur fit signe de franchir le portail, et ils se retrouvèrent dans une toute petit cour fermée. Le nain marcha droit vers une porte sur la gauche, avec assurance, et invita les deux hommes à pénétrer à l'intérieur du bâtiment.

La porte débouchait sur un couloir chichement éclairé par quelques torches, disposé un peu au hasard. Sans hésitation, le nain leur fit emprunter une série de couloirs.

"Nous avons garder notre amour pour les labyrinthes. Ainsi, même si d'éventuels envahisseurs arrivaient à pénétrer à l'intérieur de la Citadelle, ils leur faudraient encore beaucoup de temps avant de vraiment s'y repérer."

Finalement, ils arrivèrent devant une lourde porte en bois bardée de fer. Sans effort, le nain la poussa et ils entrèrent dans une immense salle où étaient dressées ici et là des colonnes de pierre. Au fond de la salle, un trône siégeait. Et sur le trône, une silhouette attendait.

Le nain leur fit traverser la salle, le bruit de leurs pas se répercutant sur le sol marbré. A mesure qu'ils approchaient, les formes de la silhouette se précisèrent. Bientôt, il ne leur fut plus permis de douter : la personne assise sur le trône richement décoré était une femme !

**Moi me vanter! Pf l'raconte n'importe quoi, que des conneries... 'spèce de nain.**

Il s'adressa à personne, mais il chuchota tout de même :

**Biensure que je le connais moi ...**

En suivant le nain à la court du "Roi" il se demandait bien quel serait sa décision. Le chemin fut court.
Ils traversèrent plusieurs couloir, devant eux se tenait une grande porte en bois, un peu délabré par l'âge mais encore solide et résistante.
Vandemar pensait qu'en ouvrant la porte, le bruit serait infernale, mais tout était bien graissé. La porte s'ouvrit sans bruit et légèrement malgré son poids.

**Ah?**

Sur le trône se tenait une femme. Une femme !
Vandemar n'y croyait pas ses yeux, il ne l'aurait jamais pensé.

"Euh?

Jack, en entrant dans la salle, fut étonné de ne pas sentir la présence de la personne assise sur le trone.
Mais il fut encord plus étoné en découvrant que c'était une femme.
**A d'acord, c'est pour ça que je ne la trouvait pas, moi qui cherchait un nain, j'ai trouvé une naine.**
Il sourit a cette idée puis s'inclina devent le Ro...la Reine qui deciderai de leur permission de fouler leur terres.
"Bonsoir madame"Dit il de la façon la plus poli qu'il connaissait.

Vandemar s'avança du trône avec respect et digne d'un fils de noble, ou du moins il marchait avec élégance
Jack le suivait, il marchais tout aussi bien que Vandemar, mais avec un peu plus de difficultés.

**Voyons voir cette Reine...**

Il s'approcha avec grâce, et lui adressa la parole d'un ton suave et mélodieux:

"Bonsoir votre Altesse, je me nome Vandemar, de la maison des elfes, je viens ici en compagnie de mon amis d'enfance Jack. Nous venons de loin, pour vous demander une petite place entre vous pour s'entraîner. Notre passage sera de brève durée, quelques semaines je dirais."

Il prit une pose et continua:

"Oh, je précise que l'on vient ici avec aucune envie de vous déranger ou quoi que se soit, on vient en amis. Bien que je sois un elfe, j'ai des amis nains, et je ne m'en vante pas mais..."

Il s'approcha un peu plus, sans trop bouger, et lui montra la bague qu'il avait.

"Cette bague est un cadeau que m'a donné un jour, un des supérieures du Clan de Masdjid, le chef et mort en combat, mais avant de nous quitter il a voulu me remercier en me la donnât en signe de reconnaissance ."

Il se dit qu'il avait trop parlé et se tu...

"Je... désolé votre Altesse... -dit-il en voyant sa politesse partir en volant.
Mon intention n’était pas de vous offenser en parlant avant vous..."

Il sourit, la Reine le regardait, avec ses yeux d'une marron claire. Il sentit le rouge lui monter à la tete, il détourna sa tete.

Jack commençait a avoir honte pour son compagnon quand il lui demanda par pensé de s'arreter de s'enfoncer tout seul.
La Reine observait tour a tour les deux compagnons.

La Reine était laide. Des traits grossiers, comme taillés à la vite, un nez aplati, de grosses lèvres pour un petit visage, un menton proéminent. Ses cheveux, noirs, étaient semblables à de la paille. Son corps était disproportionné : de toute petites jambes, et de longs bras, terminés par des mains aux doigts potelés. Seul ses yeux, d'un marron clair pailleté de violet, était d'une beauté à couper le souffle. On pouvait y lire une grande sagesse, mais aussi une immense souffrance.

La Reine, d'un geste de la main, congédia le nain qui lui avait amené les deux étrangers. Elle se leva avec difficulté et de toute sa petite hauteur, toisa les deux hommes en contrebas. D'une voix étonnament douce, elle prit la parole :

"Et bien, cher ami elfe, vous avez la langue bien pendue. Et acérée comme une lame. Vos manières me répugnent. Croyez-vous m'amadouer en prétextant une prétendue amitité entre vous et un ancien roi? Je suis lasse des manigences des hommes."

Elle s'arrête de parler, fit mine de réfléchir, puis reprit la parole :

"Ainsi, vous êtes ici afin de vous entraîner... Et par le plus grand des hasards, vous avez atteri sur nos terres. Quelle coïncidence, n'est-ce pas? Les Tours Grises sont vastes, mais vous avez décidé de venir ici. Cela me paraît... étrange. Mais il y a tellement longtemps que je ne cotoie plus les hommes.."

Elle toussota.

"Vos manières, quoiqu'impolies, me semblent dénuées d'hostilité. En effet, qui aurait pu vous empêcher de tuer ce fidel Bardok, lorsqu'il vous a annoncé qu'il vous amené à moi? Pourtant, vous n'en avez rien fait, et l'avez suivi docilement. Pour cela, je vous laisserez la vie sauve."

Elle attendit quelques instants, avant de continuer.

"Néanmoins, vous avez pénétrer sans autorisation sur mes terres. Et pour cela, vous devez être puni."

Elle écarta les bras et commença à prononcer dans un ancien langage des phrases fort alambiquées.
Elle ramena ses bras devant elle, et frappa dans ses mains. A cet instant, un vent jailli de nulle part s'engoufra dans la salle, et vint englober les deux hommes au pied du trône surélevé. La pièce s'assombrit d'un coup, et reprit sa clarté normale une seconde plus tard.

Le vent avait disparu, et la Reine s'était rassis sur son trône, fatiguée. Trop épuisée pour parler, elle attendit la réaction des deux hommes.

Jack n'avait même pas eu le temps de réagir, il ne s'attendait absolument pas a ça et il cimmençait a en avoir marre d'être surpris par cette veille naine qui se prétendait reine.

Il remarqua alors que le vent lui avait offer un jolie cadeau: une douleur horible sur toute sa peau, le vent l'avais brulé mais il n'y avais aucune trace de cette brulure.

Il ne cria pas mais s'éffondra par terre, moin resistantque son ami l'elf.

Il tenta alors une méthode de guérison que lui avait apris un petit isalani du nom de Nakor, un ami de son maitre, mais il remarqua qu'il ne pouvait plus bouger sans un effors de consentration énorme.

Le sortilège de la Reine était plus puissant que ce qu'il était capable de faire et cela l'aurais énerver si la douleur ne l'empéchait pas de réfléchir.

Vandemar se piqua au vif très rapidement.
Il entendit se que la Reine avait à dire. Il n'acceptait pas qu'un être inférieure à sa race ose lui parler d'un ton si hargneux et répugnant. En effet notre ami Vandemar se mettait en colère très rapidement.

Il allait répliquer méchamment, comme il se devait mais la Reine prononça quelques mots, qui produit tout d'abord une légère brise, qui devin tout à coup une bourrasque assez violente pour faire tomber quelqu'un.

**Merd... !!! pensa-il lorsque le vent s'affala sur eux.**

Vandemar, résista à cette attaque, mais avec beaucoup de difficultés, mais Jack, n'eut pas le temps de réagir et tomba sur le sol assez violemment et un avec un bruit sourd.
Lorsque le vent s'arrêta, la "naine" s'assit, l'air fatiguée, ou plutôt épuisé. Ce qui fit rire Vandemar légèrement. Et là, il répliqua:

"Ma Dame vous m'impressionnez, je ne vous aurez jamais crut capable de créer un tel énergie, mais avec tout le respect que je vous doit, je ne pense pas que cela soit la manière adéquate pour nous accueillir sur vos terres. Je sais, que vous les Nains, son difficile, n'aime pas être dérangés et surtout par ma race, les Elfes. Je tient à vous dire que, si vous aurez su, mes descendances vous n'aurez pas osé nous accueillir de cette manière, ni même me parler sous se ton. Mais tout cela est de ma faute, car je ne vous ai rien dit. Sachez, Votre Altesse, que moi Vandemar, suis un neveu assez proche de Thomas, le dragonnier."

L'elfe ne mentait pas, enfin presque, il n'était pas vraiment proche de Thomas, il ne l'avait vu qu'une dizaine de fois, lors de dîner de famille. Mais il s'en vantais quelques fois.

"Je ne voulais pas vous le dire, pour me faire recevoir honnêtement. Mais les circonstance me montre que, avec vous votre Altesse, désolé mon insolence, mais je me rend comte qu'il faut vous dire, d'où vient notre sang pour nous faire chouchouter. Ce qui me parait de l'hypocrisie... mais laissons les choses ou elles le sont, tel quelles. "

Il se dit que toute l'insolence qu'il venait de démontrer lui coûterais chère, mais, d'un pas firme et orgueilleux il se dirigea vers Jack, qui avait profité de se relever. Il se tenait bouche bée par la révélation des origines de son amis d'enfance.

Vandemar s'écria:

Allez Jack court!

Ils se dirigèrent vers l'entrée, éperdument, en poussant les pages et les servants qui s'étaient arrêté pour voir la scène. Il devraient affronter plusieurs gardes pour enfin arriver à un endroit ou ils pourraient se teletransporter. La reine cria d'un voix emplie de rage.

[hj enfin de l'action ! /hj]

Jack fut surpris(bah décidemen aujour'dhui) d'abord par la révélation de Vandemar puis par sa fuite inatendu, ce qui le fit courir et il eu du mal a le faire étendonné le sortilège qu'il venait de se prendre DANS LA TRONCHE!!!
[hj: :hj]

Il courut donc en bousculant des pages a l'allure ahuri et en defoncant la grande porte de son épaule en même temps que Vandemar.

Deux gardes, allarmé par le bruit de la porte qui grinçait sur ses gonts, tentère en vain d'arréter les deux compagnons dans leur course demesurer mais c'était inutile.

Vandemar courait très vite, mais ralentissait quelques fois pour que son ami le rattrape. Il courait dans tout les couloirs à la recherche d'un endroit apte au déplacement par magie. En effet comme leur avait dit le nain, s'était comme un labyrinthe. Jack commençait à se fatiguer, Vandemar quant à lui, il courait frénétiquement.
Mais à la vue de son amis, épuisé il s'arrêta. Et la quartes gardes s'affalèrent contre eux.
Vandemar sortit son épée et percuta le premier avec sa lame, qui lui trancha la main au soldat nain. Le nain déséquilibré, essaya de rendre le coup à l'elfe de sa main valide, mais l'essai fut inutile, le nain tomba en arrière d'un bruit sourd.
L'elfe, toujours dans sa plus grande forme, commença à donner des coups d'épée frénétique. Les nains, étaient fort eux aussi. Mais presque rien n'évitait la lame de notre ami. Il en tua deux autres en donnant des contres-attaques. Plusieurs nains, vêtu du tabard de la reine, et coiffé de leurs casque, qui allait avec leurs fine cote de maille. Vandemar frémit lorsqu'il vit qu'il était entouré de plusieurs nains. Lui seule ne pourrait pas le combattre, mais Jack était à ses coté, se qui le réconfortait un peu. Jack quant à lui, lançait "sa magie" partout.

Voilà qu'ils étaient dans un coin, il ne manquait plus que quelques nains lorsque qu'une hache abattu sur le bras gauche de Vandemar se qui le déstabilisa, et il tomba à genoux. Jack tua les dernier nains, en comptant celui qui avait blaissé Vandemar. Il l'aida à se lever, se dirigèrent vers leurs droite. Ils se trouvaient à l'endroit ou ils étaient atterris au début.

[hj: voir ici: https://rpg-krondor.actifforum.com/viewtopic.forum?t=80 /hj]

Les deux hommes se retrouvèrent dans la grande salle du Clan, la Reine devant eux. La rage dans ses yeux avait laissé place à une infinie tristesse. On aurait dit qu'elle était à deux doigts de fondre en larmes.

Autour des deux hommes, l'air crépitait d'énergie. Unes espèce d'aura bleue les entourait, une aura électrique.

La Reine prit la parole, d'une voix chargée de mépris.

"Je pense qu'il est temps de vous remettre à votre place et de vous faire comprendre qui se tient devant vous, misérables mortels. Ce que vous venez de faire est une énormé bêtise, et je doute que ce vous devez accomplir ne suffira à apaiser ma colère. Vous avez tué bon nombre de nains qui étaient loyaux à ma cause, et ceci, je ne vous le pardonnerais jamais.

Néanmoins, ce que vous devez accomplir, enfin, ce que vous allez accomplir, effacera en partie les torts que vous venez de me causer. Je m'explique."

La Reine inspira un bon coup, et d'une voix glaciale reprit :
"Mon "tour" tout à l'heure n'a pas été jeté pour vous impressionner. Je vous ai astreint à un sort communément appelé sort de quête. Désormais, et jusqu'à que vous ayez accompli ce qui doit l'être, vous êtes son mon pouvoir, et ne serez libéré qu'une fois cette tâche accomplie.

N'essayez pas de fuir, encore une fois. Cette fois, j'ai pris mes précautions. Vous vous trouvez dans un champ dépourvu d'énergie magique, et dont les limites sont impossibles à franchir. Ainsi, vous ne pourrez vous échapper d'aucune manière, c'est moi qui décidera quand je vous libererais.

Maintenant, ouvrez grand vos petites oreilles, vulfgaires mortels, ce n'est pas le moment d'être distrait. La leçon d'histoire va commencer."

(Je me réserve le post à la suite)

Un contre sort venait d'être lancer par un magie puissante, Jack et Vandemar atterrirent violemment sur le sol, cette fois-ci attourdient par cette force étrange qui les avaient retint.

Que...?

Vandemar vit une foule de soldats, qui entourait la reine, de plus, des magiciens se tenait devant eux.

**Oh...!**

La voix de la Reine s'éleva, claire, dans la salle.

"Il y a des millénaires, quand mon maître, Mythar, était encore en vie, il m'envoya sur cette terre afin de me fondre parmis les mortels et lui permettre d'assurer son emprise sur ces mêmes mortels. Pendant des siècles, j'ai donc parcouru toutes les terres de tous les mondes, afin d'affermir le pouvoir de mon maître. Malheureusement, il a été déchu, tué quoi, rayé des Dieux. Mais moi je suis restée sur cette terre que vous appelez Midkemia, condamnée à errer jusqu'à la fin des temps. Et croyez-moi, cela fait du temps que je suis ici. Ce n'est pas facile tous les jours d'être l'avatar d'un Dieu, même déchu.

Pendant de très longs siècles, j'ai donc errer ici, allant d'un continent à un autre, offrant mon aide à qui en avait besoin. Au départ, je travaillais pour de l'argent. Et puis, j'ai vite compris qu'avec les pouvoirs qui m'étaient conférés, et qui fort heureusement n'avaient pas disparu en même temps que mon maître, tout l'or du monde ne me servirait pas. Alors, j'ai commencé à travailler pour des causes qui me semblaient juste.

Tantôt du côté du bien, tantôt du côté du mal, j'ai oeuvré dans l'ombre durant des siècles, des siècles qui se sont transformés en millénaires. J'ai vu bien du monde, bien des civilisations périr sous mes yeux, moi qui étaient condamnée à ne jamais vieillir, à ne jamais mourir.

Et puis un jour, au cours d'une de mes nombreuses missions, je suis tombée sur un mage aux pouvoirs défiant presque les miens. Nous avons discuté pendant des décénnies, nous sommes même tombés amoureux. Mais finalement, sa soif de pouvoir l'a poussé à me poignarder dans le dos. Pas comme vous le pensez, non, d'une manière bien plus horrible.

Il a emprisonné mon corps dans un artefact de son invention. Puis, il a dissocié mon esprit de mon âme et de mon corps, et à enfermer son âme dans un autre artefact. Quand cela a été terminé, il a enfermé mon esprit dans un corps difforme et mortel, et a envoyé je ne sais où les deux autres artefacts. Je pense qu'il s'attendait à ce que je meure en même temps que l'enveloppe qu'il m'avait attribué. Mais, malheureusement pour lui, j'ai été bien plus maline que ça.

J'ai vite compris qu'en ne faisant rien, j'allais effectivement mourir avec ce corps. Privé de mon âme, de mon essence si vous préférer, je n'étais plus rien. Par contre, ce que le mage ne savait pas, c'était que je contrôlais mes pouvoirs aussi bien par la pensée que par le sang. En bref, même privée de mon essence, j'avais toujours accés à mes pouvoirs, même si ils étaient beaucoup moins puissants et variés qu'auparavant.

J'ai jeté un sort complexe sur mon enveloppe charnelle, celle que vous voyez devant vous. Je l'empêche de mourir. Elle ne vieillit pas, et s'auto-alimente de mon pouvoir, me permettant ainsi de rester en vie. Malheureusement, cela fait trop longtemps que je suis dans cet état, et mes pouvoirs ne sont considérablement affaiblis. Ce sort de quête m'a presque vidée, alors qu'avant je pouvais lancer ce genre de sort comme on souffle sur une bougie pour l'éteindre.

C'est pourquoi je vous ai convoqué ici. Pourquoi je vous ai fait atterir sur mes terres, pourquoi j'ai envoyé quelqu'un vous chercher. J'ai besoin de vous, pour retrouver mon corps et mon essence. Je suis lasse de cette terre, je ne compte plus les millénaires passés à la fouler. Les derniers siècles ont été éprouvant, et je n'aspire plus qu'au repos éternel.

J'ai effectuée de nombreuses recherches, et je sais à présent que je peux mourir. Néanmoins, le sort à lancer pour me tuer demande une puissance et une force gigantesque. C'est pourquoi je ne peux aller moi-même chercher mon âme et mon corps. Je me viderais beaucoup trop du peu de pouvoir qu'il me reste, et serait condamnée, quelle que soit l'issue de ma quête, à rester pour l'éternité ici.

L'immortalité est quelque chose d'horrible, d'affreux, qui vous détruit peu à peu. Je n'ai jamais compris pourquoi tant de personne la recherche. Je donnerais la mienne volontiers, pour enfin connaître le repos éternel.

Voici donc votre mission : retrouver pour moi mon corps et mon essence. En échange, je vous laisserais la vie sauve, et vous récompenserez peut-être par un pouvoir de votre choix, une fois les miens recouvrés.

Je vous le dis tout de suite, vous n'avez pas le choix. Ce sort de quête vous lie à moi, et si je le souhaite, je peux vous obliger à réaliser ce que je vous demande, en m'emparant de vos esprits. Néanmoins, et je vous l'avoue, je n'ai pas envie que l'on en arrive là. Ce serait à la fois désagréable pour moi et pour vous.

Comme je suis gentille, je vais vous donner des objets qui vous aideront, ainsi que des indications."

D'un geste de la main, elle congédia tout le monde présent dans la salle et lança une brève incantation. Un plateau d'argent apparu devant elle, avec posé dessus trois objets... pas insolites pour deux sous.

"La boussole que vous voyez n'indique pas le nord, mais l'artefact le plus proche. Elle a une portée de trois cents mille kilomètres. Les jumelles que vous voyez là vous permettront de voir à travers les enchantements. Il se peut que l'un des artefacts soit sous l'effet d'un enchantement lui donnant une apparence autre que celle d'origine. Il serait bête de passer à côté à cause de ce détail. Quand à ce bout de parchemin, c'est une carte du Royaume il y a de cela mille deux cents ans, quand ce mage s'est joué de moi. Il y a dessus des indications importantes, comme les endroits où il est allé, où il a résidé, etc.

Maintenant, quelques indications : l'artefact qui contient mon âme ressemble à une urne. Je n'ai pas pu en voir plus lors de l'incident de la discossiation. Tout ce que je sais, c'est qu'elle a des runes gravées sur elle, des runes fort étranges, et qu'elle est d'une couleur verdâtre, malsaine.

Quand à l'artefact qui contient mon corps, cela va vous semblez très original, mais c'est un coffre, tout simplement. Plus long que large, pas très haut, cerclé de fer. Fait dans un bois blanc.

J'ai peut-être omis quelque chose... Des questions?"

Jack sentit une goutte couler sur sa joue, il avait toujours été très sensible aux histoire comme celle qu'il venait d'entendre.
Il mit les deux artefactes que Vandemar lui tendait dans une poche invisible a l'intérieur de sa robe de mage et attendit la réponse de la reine.

La Reine sortit de dessous sa tunique une petite chaine en argent à laquelle était accroché un petit pendentif : un crâne avec une rose dans la bouche.

D'un mot, elle dissipa le prison qui les retenaient captif et leur fit signe d'approcher.

"Ceci est un vieux talisman qui protège de la magie, blanche ou noire. Enfin, il protège dans une certaine mesure, comme tous les artefacts protecteurs. Il vous aidera peut-être. De plus, il vous permettra de me contacter à tout moment. Prenez le dans votre poing gauche, et prononcer mon nom. Vous serez immédiatement ammené ici.

Si je n'ignorais pas les dangers qiui vous guêtent, je pourrais mieux vous aider. Mais je crains que vous ne deviez compter beaucoup sur vos talents et votre tête. J'ai fait mon possible pour vous aider, en vous apprenant le peu que je savais. J'espère que cela vous suffira.

Votre quête commence à la cour du Roi, le futur souverain Patrick. En effet, on célèbre son mariage dans quelques heures, et beaucoup de monde y est invité. Ouvrez les yeux, vous apprendrez peut-être d'intéressant. Autrement, je vous conseille de vous rendre ensuite à la ville jadis appelée Sethanon. Nous y avions résidé. Peut-être trouverez vous parmis les ruines quelques choses intéressantes..."

La Reine murmura une longue incantation, au terme de laquelle un bruit effroyable se fit entendre. On aurait dit que la salle où ils se trouvaient aller tout simplement s'effondrer. Mais à la place de cela, une porte se matérialisa à quelques pas des deux hommes.

"Cette porte vous ménera tout près de Rillanon, à quelques minutes à peine à pieds. Lorsque vous serez prêt, emprunter la. Attention, elle se refermera une fois que vous aurez traversé. Donc, pas la peine de penser que vous reviendrais ici par ce moyen. Pour me retrouver, seul le pendentif vous aidera.

Il y a un puissant enchantement autour de la vallée, en plus des mesures de précautions que nous avons prises. Si personne n'a pénétré ici sans invitation depuis cinq ans, ce n'est pas pour rien...

Si vous avez des questions, je suis à votre écoute."

Elle sembla se souvenir de quelque chose :

" Mon nom, c'est Valheiria. "

Vandemar, comprit tout lorsque la femme évoqua le nom de Mythar. Il s'avait qu'en elle résidait un grand pouvoir, et qu'il commettrais une erreur fatale en la défiant à nouveau. Mais il en avait déjà vu assez, alors il s'obligea à rester silencieux, plus par peu, que par respect. En effet, le pouvoir que la "naine" avait utilisé n'était point celui d'un nain, ni même d'un être vivant. C'était un pouvoir, qui allait au-delà de nos suppositions. C'était une magie pure, mais noire. Seul les êtres qui venaient des profondes ténèbres étaient capables de s'en servir "correctement". Jack se tenait à ses cotés et il écoutait l'âme en peine, qui parlait du corps de la soit disant reine.

Il resta calme, et entendit tout. Il n’en était pas vraiment impressionné et du moins il ne le montrait pas face à elle.

Il s'étonna en s'ecoputant répondre:

Oui, ma Dame je comprends.

Il ne savait que dire, trop fatigué pour répliquer, il s'avança vers le plateau, et prit les objets qui y étaient disposés. Il garda la boussole et tendit le reste à Jack. C'est-à-dire la longue vue et la carte du monde.
Une longue aventure les attendait. Vandemar, lui, qui pensait que ses aventures avec Jack étaient terminé, il avait bien tord.
Il s'avança vers l'Etre, et se mit à genou:

Ou commencera notre quete ?

[hj:ta bugué la Vandemar, tu a répété ce que tu as dis la dernière fois^^:hj]

Jack commençait a aimer cette petite femme a l'histoire tragique même si il restait un peu réticent a faire la mision qu'elle lui demandait.

**Valheiria...ça me rapelle quelque chose mais je ne sais pas quoi.**

"Gente dame, je vous dis aurevoir, ou plutot a bienntôt car je sens que nos chemin vont se recroiser."

Ainsi il inclina legerement la tête et se retourna vers la porte qui menait a Rillanon.

Il l'ouvrit et fut transporter a Rillanon.

Vandemar l'écouta avec respect et s'avança de la Reine pour prendre le talisman qu'elle lui tendait. Il le prit avec soins et le passa autour de son cou délicatement. Il était d'un bleu pale, mais qui laissait à des endroits la lumière passer, se qui lui donnait sa beauté. Il était attaché à une fine cordelette en fil d'argent. Il en était navré.

"Si j'ai bien compris, il me protégera de toute sorte de magie, et m'emmènera à vous si je le désire ?"

Il sentit un picotement au bras lorsqu'il le mit sous sa chemisette en soie et sa cote de maille.
Il se rendit compte tout à coup que son épée était toujours dans sa main, et il la tenait dangereusement vers la gauche. Il la remit rapidement dans son fourreau, et avec une agilité surprenante il s'avança vers la femme et lui dit tout simplement:

"Voyez-vous Ma Dame, qu'en combattant contre vos soldats, je me suis blessé le bras, et je tiens surtout à vous demander de le soigner. Bien que se ne soit pas grave, il me lance un peu depuis tout à l'heure, et c'est aussi une bonne occasion pour vous voir utiliser votre magie de plus près."

A se moment, Jack les salua et s'en alla sans même les regarder. Vandemar se dit que c'était une mauvaise blague, mais il se trompait, Jack s'était belle et bien en allé. La reine se leva avec une certaine rage, et donna l'ordre de les suivre.
Mais Vandemar intervint pour aider, et sauver son ami d'une mort certaine :

"Ce n'est pas grave ma reine...je lui expliquerais tout. Il est partit vite, comprenez le, il est encore jeune pour un humain, et il n'est pas facil d'esprit. De plus depuis quelques temps il ne va pas très bien. Laissez-le, je vous en prie."

La reine s'assit à nouveau, avec le regard vide.

Vandemar s'approcha avec respect de la reine, et lui prit la main et la baisa. Il se dirigea vers la table, ou son ami avait laissé les objets. Il les prit donc: la carte, la boussole et la longue vue.

"Au revoir ma dame, vos désirs seront exaucé, c'est un plaisir de vous servir."

Et il prit le chemin de son ami. Il disparut dans les ténèbres, en suivant son ami d'enfance, Jack.

[HJ Ryana efface l'autre message, celui de Marcus^^ je n'ai pas pu merci ) /HJ]