Audience du matin présidée par Francine.

Francine était fatiguée. Francine était au bord de la crise de nerf.

Elle avait passé une nuit des plus agitées, pas trop surprise de découvrir le lit conjugal encore vide et froid. N'ayant presque pas récupéré de sa quasi nuit blanche, elle avait passé une matinée exécrable : le seul moment de réconfort avait été la petite entrevue avec la jeune fille de chambre, Margot. Elle espérait que la rencontre entre la bonne et Igie s'était bien déroulée et que la visiteuse avait trouvé ses présents à son goût... mais surtout à sa taille !

Une fois ces quelques formalités accomplies, Francine s'était préparé pour la séance du matin, qu'elle devait supervisée, car, pour une fois, Patrick serait présent. Mais, au dernier moment, la nouvelle qu'elle redoutait le plus tomba : elle serait, une fois de plus, seule toute la matinée, à faire face à ces hordes de nobles en colères, des réclamations plein la bouche, et pas une parole reconnaissante.

Francine en aurait pleuré de rage, en aurait brisé ses meubles et déchiré ses vêtements : mais la présence des pages et de l'intendant l'avait contrainte à seulement réprimer sa colère, les poings rageusement serrés.

Elle était las de ces audiences et avait décidé, au grand dam de ses serviteurs, de s'habiller simplement, presque comme un serviteur, s'autorisant seulement à porter la couronne royale... couronne qu'elle négligea au dernier instant pour lui préférer celle apporté quelques jours auparavant par l'émissaire elfe.

C'est ainsi que, pauvrement vêtue mais richement couronnée, Francine s'était rendue à la salle du trône et, avant tout le monde, était allé prendre place sur le trône réservé normalement à son mari, sous les regards stupéfaits des serviteurs et petits nobles qui n'étaient pas conviés et qu'elle croisât sur le chemin.

Alors que les grandes portes s'ouvrirent et que les premiers nobles entraient dans la place, Francine chercha du regard la visiteuse de cette nuit.
Après quelques minutes, elle finit par l'apercevoir, ne pouvant s'empêcher de réprimer un sourire lorsqu'elle vit quelle robe elle avait choisi de porter.
*J'aurais fait de même* pensa-t-il, pas étonnée le moins du monde.

Les hérauts sonnèrent le cor et la séance débuta. Le premier noble s'avança et Francine réprima une furieuse envie de s'enfuir et d'aller se cacher dans un trou de souris.

Jack entra dans la manifique salle.
Il choisit une place pas trop loin de la belle, mais pas trop proche pour qu'elle ne l'aperçoive qu'a un moment précis de la cérémonie et qu'elle l'observe en se posant des questions sur lui.

Le cor lui fit reprendre ses esprits et voyant le premier noble s'avancer, il se dit qu'il s'ennuyer déjà, et qu'il avait hate que tout cela se finnisse pour parler tranquillement avec la reine et la belle plutôt que ces stupide cérémonies officiel.

Il regarda ensuite la reine et lui trouva du charme, se disant qu'elle méritait largement d'être aimer par le roi, et de plus, les rumeurs disait qu'elle avait bon caractère, se qu'il s'empressera de vérifier a la fin de la cérémonie se dit il.
Il pensa aussi a Stray, a Vandemar et a Aodh, se demandant se qu'il fesait et où ils étaient.

Une fois un pied posé dans la salle, Igie fut impressionnée par sa décoration et son agencement mais n’en laissa rien paraître. Les yeux alertes, elle balaya du regard la salle de manière à chercher des personnes qu’elle pouvait connaître avant de se focaliser sur la reine.

Le prince héritier était absent. Etait il souffrant ? Non, elle ne devait pas se dissiper avec des vaines hypothèses. Elle n’allait avoir qu’une occasion, celle la. Choisir ses mots avec soin, guetter les réactions, prévenir toutes les questions et surtout paraître irréprochable. Igie regarda la robe qu’elle portait, elle avait déjà contractée une dette.

Avec une pointe d’agacement mêlé à de l’impatience, elle regarda le noble suivant s’avancer vers la reine pour exposer ses griefs. Encore deux, et cela sera son tour.

Après que l'elfe lui ait demandé de l'accompagné jusqu'à la salle du trône, Ned se précipita dans le couloir, ouvrant la porte à tout va et se mettant à courir à tout allure... avant de se rappeler subitement qu'il n'était pas tout seul. Il revint alors sur ses pas et attendit patiemment que l'elfe arrive à sa hauteur. Quand cela fut fait, Ned lui prit sa main, sans honte, se mit à trottiner, l'elfe à sa suite.

En expert, il emprunta une série de couloirs, plus ou moins larges et d'escaliers, et cela sans jamais revenir sur ses pas ou donner l'impression d'errer au hasard. Son année déjà passée ici et son travail lui avait permis de connaître le palais comme s'il y était né.

A son passage d'ailleurs, certains domestiques ou petits nobles résidants pour le moment au palais lui adressèrent des petits saluts amicaux. Presque tout le monde le connaissait ici et surtout, beaucoup de monde l'adorait. Le lot quotidien de tous les petits garçons...

Finalement, après cinq bonnes minutes, Ned stoppa devant une énorme porte en chêne à moitié entr'ouverte où attendait en faction deux garde. On était arrivée au rez-de-chaussée et, si du bruit ne montait pas de la grande salle, les deux hommes auraient très bien pût entendre les bruits de l'extérieur.

"C'est ici m'sire l'elfe... Dépêchez vous, ça a déjà commencé ! souffla le petit page, en poussant l'elfe vers la porte. Dîtes, vous voulez que je vienne vous chercher lorsque cela sera terminé?" ajouta-t-il.

Lorsqu'il eût sa réponde, il hocha la tête et s'en fuit à tout allure, sans attendre une minute de plus. Les journées étaient encore beaucoup trop courtes pour lui !

Tahein acquiesça a la demande du charmant petit page, et ne put s'empêcher délaisser couler un rire en le voyant détaler comme un lapin.
Il entra dans la salle d'audience aussi discrètement que possible. Il fit un signe de tête à l'un des garde pour lui signaler sa présence et se mit a attendre son tour.
Soudain il remarqua l'absence du Roi. La Reine Francine était seule a siéger. Que cela pouvait-il signifier? Où donc était le Roi? Souffrant?
Il remarqua que Francine portait la coiffe qu'il lui avait offert le lendemain du mariage et il esquissa un sourire.

Son regard glissa dans la salle et il découvrit a côté de lui la jeune noble qui les avait apostrophés la veille avec Vandemar et son frère. Elle avait l'air préoccupée et son air calculateur lui déplu franchement.
Tahein était nostalgique de la Nature et de la sincérité de son peuple. Oui, il serait heureux lorsqu'il retrouverais les arbres et quitterais la lourdeur des pierres.

Jack remarqua qu'une présence entra dans la salle.
Il se retourna et vit alors un elfe.
Il se faufilat entre les nobles vers l'elfe car une idée lui vint.
S'adressant à lui et essayant de lui expliquer sa situation le plus clairement possible, il dit:
"Bonjour, escusez moi mais,... et bien, voilà, il se trouve que j'ai perdut deux de mes companons qui sont des elfes eux-même, et comme vous ètes peu nombreux dans la ville, j'ai pensé que vous les aviez peut-être vu."
Il se sentit alors un peu honteux.

Francine leva les yeux juste lorsque l'elfe entra dans la grande salle. Tout le monde qu'elle avait convié était donc présent... Elle ne savait pas pourquoi mais, en voyant le regard de l'elfe se poser sur elle, elle eût l'étrange impression que l'homme se demandait pourquoi Patrick n'était pas là.... Si elle même pouvait le savoir ! Mais elle préférait ne pas trop y penser, l'heure n'était pas aux interrogations futiles.

Un noble, puis un autre, et encore un autre vinrent se présenter devant elle, demander des services, des faveurs qu'elle accordait, ou non, qu'à demi-mot, sans arriver à montrer beaucoup d'intérêt et ou d'enthousiasme. De toute façon, ce n'était pas de réelle réponse car il faudrait discuter de certains points avec le roi et son conseil... Mais faire des promesses ne coûtait pas grand-chose...

Et puis, le héraut annonça le nom de la jeune visiteuse de la veille. Enfin, c'était à son tour et Francine allait enfin comprendre ce qui l'avait amenée ici et surtout, la reine allait enfin se rendre compte si elle pouvait s'en faire une alliée digne de confiance...

Se redressant sur son trône, affichant un sourire léger sur ses lèvres, Francine attendit que la jeune femme vienne se poster devant elle et, d'un léger signe de tête, l'invita à parler.

Concentrée telle qu’elle l’était, Igie n’avait pas vu la salle se remplir peu à peu et n’avait donc pas plus remarqué l’entrée du mystérieux homme de ce matin que celle de l’elfe qu’elle avait croisé lors de son arrivé à Rillanon.

Le noble s’inclina devant la reine puis s’écarta. C’était à elle.

Héraut : « Demoiselle Igie de Rougerie »

Elle prit une grande inspiration et s’avança lentement, sans précipitation, malgré sa volonté de retrouver son du, vers le trône. Ses mains le long de son corps pinçaient légèrement la robe pour à la fois lui permettre de marcher avec plus de liberté que pour mettre la beauté du vêtement en relief. Un remerciement discret à l’attention de la reine.

Arrivé à quelques pas de la reine, Igie s’agenouilla autant que la robe le rendait possible et fixa le sol. Une fois la permission de parler reçu, Igie se redressa et dit d’une voix claire :

« Bonjour votre Majesté. Je vous remercie de me recevoir. »


Tout en faisant une révérence, elle glissa dans un murmure en prenant soin de ne pratiquement pas bouger les lèvres :

« Je ne sais que dire … Merci… Cela est bien pâle devant votre générosité… »

Elle repris à voix haute, faisant passer se silence apparent comme protocolaire, elle se lança dans le discours qu’elle avait tant préparé :

« Je me présente à vous comme femme de l’Ouest. Ma peine est celle partagée, vécue par toutes celles qui ont perdus : un père, un frère, un chez soi, tout en même temps… Je ne suis pas ici pour annoncer ces faits déjà de la couronne qui, a tout autant souffert et sacrifier pour protéger son peuple, ses valeurs, ses frontières. »

Elle fit une pause et son visage fut parcouru d’une soudaine hésitation qu’elle ne parvint pas à cacher à la personne qui lui faisant directement face : la reine. Igie devait elle continuer comme elle l’avait prévu ? Devait elle exposer ses revendications légitimes sur ses terres familiales ? Elle avait perçu, lors de sa rencontre nocturne avec la reine que cette dernière était lasse, si Igie persistait elle pouvait très bien agacée irrémédiablement, la reine et par la même occasion la couronne. Et puis le Igie avait décelé comme une profonde souffrance mais elle n’arrivait pas l’identifier, elle savait juste qu’elle l’avait ravivé à la fin de leur discussion. De part la robe et la présence de la femme de chambre, elle avait une dette. Elle se repris avant que l’assistance s’impatience et commence à jaser.

« Je me présente humblement devant Sa Majesté avec la profonde volonté de reconstruire et de rebâtir ce qui nous a été enlevé. C’est avec fortes précautions que les terres de la baronnie Rougerie, dépourvues de toutes défenses suite à la guerre, ont été placées sous la protection direct du duc de la Mût. Je .. Je ne peux que remercier la Couronne de cette indispensable mesure pour la sécurité des biens et des personnes et attendre avec une certaine impatience de retrouver la seule chose de ma famille qui subsiste encore.»

Sans s’en rendre compte, Igie ajouta :

« Jusque cela me soit accordée, je me met naturellement à disposition de la couronne. »

Mais que venait elle de faire… Elle s’humiliait elle-même par cette proposition.. Comment…

Pendant que Jack posait sa question à l'elfe, il remarqua que la jeune noble de l'autre soir s'avançait.
Il ne prit même pas la peine d'écouter se quelle disait:
"étend donner ses manières, c'est une noble de la cour qui cuie à petit feu la famille royale pour leur soustraire des biens, l'habituel rapace de la cour de Rillanon." se dit Jack.
Quand elle eut aparement finit, elle semblat rougir et il y eu quelques ricanement inperceptiple dans la salle.
Jack regréta de n'avoir rien écouté, mais les problêmes de la cour ne l'intéressait guère, d'ailleur, il ne savait même pas pourquoi il était venu: il n'avait aucune requête a faire à la cour et son nom ne serait même pas prononcé dans la salle.

Belactan se dandinait d'un pied a l'autre il était entré dans l'antichambre de la salle du Trone et attendait nerveusement: un page pour le présenté à la Reine,il avait entendu que cette derniere eté d'une grande beauté...

Un page vint et Belactan se présenta et lui demanda quand il pourrai entrer il donna son "titre" pour que le page le communique au heraut.

"Belactan Guardians of the gold forest". (en français :Gardiens de la forét d'or)

Il patienta un moment puis décris au page (majordome?)la raison de sa visite.

Servir la Reine de quelque maniére et le royaume dans c'est compétences.
"En tant que Garde du corps ou bien parmi ces officiers ou avec les prétres avec mes pouvoirs j'ai plusieurs possibilités"
Les possibilités ne manque pas mais ...

Francine se força à garder un sourire chaleureux tout le long de la déclaration d'Igie. A un moment, ses yeux avaient glissé au fond de la salle, et elle avait surprise de voir l'émissaire elfe en pleine conversation avec... l'homme qui avait accompagné l'autre elfe à qui elle avait fait de terribles révélations. Mais elle n'avait pas eu le temps de s'en occuper plus, son attention toute requise par la demande plus qu'habituelle d'Igie.

*Ainsi, j'avais vu juste... Comme tout le monde, elle vient me réclamer des terres que, pour l'instant, je ne puis lui donner. Et de toute façon, ce n'est pas à moi d'en décider... Il va falloir que Patrick revienne au plus vite, il me met de jour en jour dans une situation plus qu'inconfortable. Les nobles veulent des réponses, pas des promesses. Mais cette fois, ce n'est pas des paroles en l'air que je vais lui offrir. Il est temps que tout le monde me marche sur les pieds.*

Alors qu'Igie prononça sa dernière phrase, phrase qui ne manqua d'étonner Francine tout comme les nombreux nobles présents à en juger par les murmures de consternation qui s'élevaient ici et là, Francine se leva et d'une voix autoritaire réclama le silence, parcourant la salle du regard.

"Silence je vous prie. Nous ne sommes pas ici sur la place publique, alors ne vous comportez pas comme les commères qui s'y promènent ! Cette mascarade a assez duré, et je ne supporterais pas un bruit de plus dans cette salle."

Se tournant vers Igie, elle la regarda avec bienveillance et, sans cacher ses paroles, lui parla comme si elles étaient seules à seules.

"Je comprends tout à fait votre demande et, dans un sens, la respecte car vous avez le courage de venir réclamer quelque chose qui ne vous sera peut-être pas rendu. Et, malgré cette incertitude planant sur la réponse à votre demande, vous venez de très loin pour venir me la soumettre, même si je sais que vous vous attendiez à ce que ce soit Son Altesse Patrick qui soit là.

Mais regardez donc ma bonne amie ! Je suis leur reine, je suis l'épouse de l'homme le plus puissant du Royaume et je n'ai pas le droit à la moitié du respect que je devrais attendre de leur part ! s'exclama-t-elle en désignant du doigt l'assemblée de noble. Oh, je sais à quel point je les fais sourire, je sais à quel point je suis l'objet de leurs moqueries, lorsqu'ils sont seuls.
"Regardez la donc, seule sans son roi d'époux. Que croit-elle faire? Pour qui se prend-elle?"

Oui, ma bonne amie, on ne me respecte pas comme ma position, ni même son statut de femme l'exige. Alors, qu'en sera-t-il de vous, lorsque vous récupérerez vos terres, vous qui n'aurez même pas un mari pour vous protéger, vous servir de bouclier contre ces vagues de mépris, de colère et de moqueries?

Ainsi, ma réponse ne sera pas : mariez-vous, et je vous rendrais vos terres ou bien partez sur le champ La Mût remettre ce décret royal vous restituant de plein droits vos terres. Non, ma réponse sera celle-ci : il est des affaires qui ne se discutent pas en public, devant cette bande de rapaces qui vient grappiller tout ce que leurs viles serres puissent grappiller.

Ainsi, je vous attendrais ce soir ici même, en compagnie de son Altesse Patrick pour discuter en secret de cette affaire.

Il est temps que le Royaume bouge un peu." conclut-elle en se rasseyant, congédiant ainsi la jeune Igie.

Francine espérait que son petit discours en avait choqué plus d'un. Il n'avait d'ailleurs servi qu'à cela !

Alors que la jeune noble se retirait, Francine fit approcher le petit page qui était arrivé il y a quelques secondes et qu'elle avait fait attendre.
Il lui glissa quelques mots à l'oreille et, d'une voix forte, Francine annonça elle même :
"Que l'on fasse approcher Belactan, Gardien de la Forêt d'Or."

Encore une entorse au protocole. Mais, comme elle venait de le dire, il était temps que les choses changent un peu au sein du Royaume. Elle était la Reine et, en l'absence du Roi, avait tous les pouvoirs. Si elle désirait bouleverser l'ordre de passage des nobles lors de cette audience, elle en avait tous les droits...

Belactan s'avança lentement en direction du Trone tandis qu'il marché ses sens repérérent un ou deux elfes ,et aprés des nobles mais aussi un homme différent...

Il 'sarréta a 3 ou 4 métres du Trone comme il été grand il mit un genou a tere et s'inclina.

"Votre Majesté. déclara til d'une voie douce.
Je suis a présent devant vous pour deux formalités .D'Abord votre belle ville ainsi que vos majestés.Comme je voit votre époux absent,j'ai la possibilité de dire que les rumeurs entendu auprés du peuple ne sont qu'un pale reflet de votre beauté et de votre force"Il s'amusai comme un petit fou

"La seconde formalité est que je vous offre mon allégeance.Pendant lomgtemps je me suis battu avec la nature contre les ennemis de Midkémia mais présent je suis venu me battre au coté du Trone de Rillanon et de Vos Majesté."

Méme si il avait été lomgtemps loin de la civilization son don pour parler ne c'était pas émoussé.

Belactan se redressa et regarda la Reine attendant ça réponse.

Jack fut heureux de savoir que ses amis était encore en vie et il remercia l'elfe, mais resta a ses côté car il aimait sa présence, sentant l'intélligence émaner de lui.

Il vit la Reine faire son discourt et ricana en voyant la surprise des nobles.

Il observa alors l'homme sui se prénommer aparament Belactan, entrer dans la salle, le marteau a la ceinture, préparé a tout.
Il remarqua alors son air sympathique et se dit qu'il serait amusant del'avoir dans son "équipe" avec Vandemar et Aodh, se disant le carnage qu'ils feraient ensemble.

Il entendit sa proposition a la Reine qui semblait de plus en plus belle et fierte apres avoir fait son discourt qui ferait le tour de la ville dans quelques minutes.

Belactan se dit que la téte des nobles été assez cocasse ...
Tout en observant autour de lui pour savoir si sa déclaration avez surpris certains nobles ? ou méme l'Elfe?Mais cela devait étre une autre personne mais voir c'est nobles réduit a mangé pain et eau serait amusant.


Silencieusement il communia doucement avec la nature et pris contacte avec l'elfe."Bonjour ami de la nature ,j'espere ne pas arrivée en temps de guerre(ironique)mais apparament c'est raté".Belactan rit.Puis "Je ne sais pas ce que va répondre la Reine,mais serait il possible de discuter aprés l'audience, Ami elfe?"

(Les phrases"" sont les messages pensée)je les écris en vert maintenant.




Belactan reçu la pensée de l'elfe et répondit"J'en serai honorée ami ,qu'elle est votre nom?ce mode de discussion est un peu lent...et au faite gardé votre compagnon avec vous je serai ravi de connaitre plus de monde.Le mien est Belactan .Pourriez vous m'informer de la situation présente?Car a voir la mine de ces nobles,je me pose quelques questions!

Igie passa de la sombre colère envers elle-même, à une haine dirigée vers les nobles présents, puis à du soulagement pour finalement prendre légèrement peur. Ainsi dès qu’on lui offrit une porte de sortie, elle l’a saisie, sans dire un mot de plus.

Jack sentit la conversation par pensé entre l'elfe et le demi-elfe.

Il vit aussi la belle sortir de la salle et s'aprétta a la suivre quand l'elfe lui posa une question.

Jack décida alors qu'il ferait mieux de rester avec l'elfe et le demi-elfe apres la séance.
"Oui j'en serais tres honoré."

Francine regarda avec désolation Igie s'en aller, sans rien lui dire ou lui faire comprendre. Elle espérait qu'elle avait compris qu'elle voulait l'aider et que ce coup d'éclat n'avait servi qu'à cela ! Elle n'avait pas envie de discuter d'affaires importantes et chères à son coeur devant ce partère de vautours... Et puis, son mari n'était pas là, elle ne pouvait vraiment rien faire sans lui, quoiqu'elle pouvait laisser entendre.

Réprimant un soupire de frustration, bien décidée à mettre les choses au clair avec la jeune noble dès que l'audience serait terminée, elle reporta son attention sur l'homme qu'elle avait devant lui, et sur ses paroles pluis qu'indécentes.

D'une voix chargée de colère, elle lui répondit :
"Avoir le privilège de venir m'adresser votre requête ne vous permets pas de vous montrer familier avec moi. Je n'ai pas boulversé l'ordre de venu juste pour vous entendre me faire des compliments vides de sens."

Elle radoucit légèrement sa voix, allant même jusqu'à esquisser un sourire :
"Néanmoins, votre proposition m'intéresse grandement. Prêter allégeance à la couronne n'est pas une action que l'on fait à la légère... Mais qui me dit que vous êtes digne de confiance? Et surtout, comment puis-je savoir vos réels talents?"

Elle fit signe à l'un des conseillers qui attendaient près du trône d'approcher et s'entretint avec lui quelques secondes. Satisfaite, elle se retourna vers l'homme pour lui donner sa réponse :
"Nous sommes intéressés par votre demande. Si vous acceptez d'être notre hôte quelques jours, nous pourrions vous faire parvenir une réponse plus détaillée sous peu."

Posant un regard serein sur l'homme, elle attendit sa réponse. C'est à ce moment là qu'elle remarqua ses oreilles légèrement pointu et un teint pâle qui s'apparentais plus à celui d'un elfe qu'un humain..

*Mais qui est-il?!* ne pût-elle s'empêcher de se demander...

La réplique cinglante lui fit l'effet d'une bombe mais Belactan comprit la réaction de la Reine...Il regarda de ces yeux vairons et dit d'un ton le plus calme possible

"Je... Majesté C'est avec beaucoup d'honneur que j'accepte votre invitation .Ainsi que mes réels talents seront d'étre un guerrier et un ami de la nature qui me donne un certain pouvoir. Etant ce que je suis, le fruit d'une union plutot inhabituelle.Majesté Je suis un demi elfe :dis je le plus bas possible pour que seul la Reine l'entende.

Ah j'ai fais un beau gachis il va falloir étre prudent ,mais pourtant j'ai du mal a me reconnaitre avec ce parler alambiquer.Qu'elle difficulté je ne me reconnais pas ,C'est la civilization ...pfff...La position :un genou a terre et bien incorfotable mais si je met debout j'aurai l'air d'étre supérieur

"Voila une preuve des plus modeste que je peux vous présenter.Majesté"

Tout en regardant les gardes sur le qui-vive avec ses autres sens Belactan mit c'est mains en coupe et articula deux syllabes.Il rouvrit ses mains et les tendit vers la Reine et posa doucement la rose couleur créme a demi éclose par terre devant elle.

Belactan repris la discussion télépathique est demanda une faveur a l'elfe.


Tahein voudriez vous m'aidez a sortir de cette situation? je serai ainsi votre débiteur?Pour prouver que je suis sans arriére pensée,prenez la parole et si la reine a confiance en vous ...sondez moi.J'ai fait un beau gachis ,mon coté elfe me le dis bien mais mon coté humain et impatient comme un étalon

(Rp off Oula j'aurai du faire plus attention a mes paroles mais bon les humains sont si nuls et Ryana ce que j'ai dit sur le post avant par rapport al beauté ces dans un autre bouquin et c'est pas une réaction colériques qui arrivelol ....lol rp on)

Jack reprit son serieu en entendant les paroles de la reine, la manière dont elle lui avait répondut étaient si froide que toute la salle semblait être glacer.
Il vit le demi-elfe tenter de sa ratraper et observa avec attention la magie qui avait fait apparaitre la belle fleur.

Voyant ensuite son ami l'elfe le secourir, et écoutant son discourt, il se dit qu'il y avait quelque chose a faire.

Il s'avanca et se placa a côté de l'elfe, il dit a la Reine en s'inclinant chapeau dans la main:
"Bonjour madame... je pense que voyant ces deux elfes et presque elfes, il souria, vous devez être un peu... dépaysé. Je vous demande donc d'escuser leurs manière si arrogantes et remercier les dieux que ce ne soit pas des elfes noires.
Il fit un grand sourire a cette remarque qui d'alleur avait semblé détendre l'athmosphere.
"Oh fait je me présente, je suis Jack, magicien a la cour de Krondor."